Cosmétiques conventionnels ou Bio ? Vous vous posez peut-être la question de ce qui est le mieux pour votre peau… Santé, efficacité, plaisir ? Si vous n’avez pas encore été convaincu dans la 1ère partie de cet article, PHI Essentiel vous invite à vous faire un avis (sans parti pris…enfin presque !)
Les agents actifs :
C’est le plus souvent leur efficacité qui est mise en avant, notamment dans les publicités pour les cosmétiques conventionnels, et pourtant…
Ils ne constituent qu’un infime pourcentage du produit et sont souvent synthétiques et associés à un langage marketing pseudo-scientifique. Lorsqu’ils sont d’origine naturelle, ils sont extraits grâce à des procédés chimiques lourds et polluants au cours desquels ils perdent une grande partie de leurs vertus originelles.
Malgré des pourcentages proches de 0, ces actifs servent de support aux plus somptueuses campagnes publicitaires !
Une majorité d’agents actifs sont déjà concentrés au sein même de l’excipient d’un cosmétique Bio. En effet, chaque huile végétale, chaque hydrolat est un riche cocktail de principes actifs aux propriétés uniques qui assurent déjà une efficacité probante au soin. Associés à des actifs naturels complémentaires comme des algues, des actifs issus des biotechnologies, des extraits végétaux concentrés, ils forment une synergie à haute performance.
Les additifs et adjuvants :
Parfums, conservateurs, agents de texture… Ils sont le plus souvent les garants du plaisir et de la sensorialité associés au produit.
+1 ! C’est le seul point que nous concéderons aux cosmétiques conventionnels. Des textures fraiches ou fondantes à l’envi qui vous laissent des pétales de roses sur la peau, des parfums enchanteurs et addictifs qui évoquent tour à tour votre lointaine enfance ou des paysages idylliques… Ils se prénomment phénoxyéthanol, Butylhydroxyanisole, polyéthylène-glycol, acrylates, cyclotetrasiloxane… ou « parfum » tout simplement et forment une grande famille de plusieurs milliers de substances destinées à conserver les produits, masquer les odeurs de certains ingrédients, augmenter la porosité de la peau, apporter un toucher doux… Elles présentent des risques potentiels pour la santé et l’environnement par leur caractère persistant et bioaccumulable. Si ces produits cosmétiques répondent à des normes strictes, les effets cocktails ne sont pas forcément pris en compte. Ne sont la plupart du temps considérées que les molécules prises isolément… plus rarement dans leur contexte d’association et d’accumulation.
Si les pionniers de la cosmétique bio ont eu à souffrir d’odeurs (très) brutes et de textures grasses et collantes, nos crèmes bio d’aujourd’hui n’ont plus grand-chose à envier à leurs lointaines cousines de la cosmétique conventionnelle. En effet, malgré une panoplie d’ingrédients autorisés restreinte et particulièrement encadrée, la « beauté bio » s’est adaptée aux besoins des consommateurs en proposant aujourd’hui une cosmétique pointue, technologique, active, avec des ingrédients de haute qualité, naturels et bio. Et si les parfums ne sont pas encore aussi subtils et élaborés que leurs homologues de synthèse, ils nous réservent pourtant de belles expériences et nous révèlent au passage combien nous sommes conditionnés par des décennies passées à respirer des molécules de synthèse, de la lessive à notre eau de toilette. Mais une fois (re)habitués aux parfums naturels, il est difficile de s’en passer et les parfums synthétiques deviennent alors une agression pour les sens olfactifs, parole de PHI !
Chez PHI Essentiel, nous avons choisi notre champion ! Et vous ? A qui décernez-vous le titre ?